Reconnaissance, syndicat, fédération, nombres d’heures et qualité pédagogique.
Syndicat des Professionnels de la naturopathie (SPN)
L’Ecole Plantasanté est membre actif du Syndicat des Professionnels de la naturopathie (SPN) qui regroupe 10 écoles de naturopathie: c’est le groupe majoritaire en France; nous préparons l’inscription de nos cursus de naturopathie au RNCP, Répertoire national des certifications professionnelles. Notre syndicat est le seul en France. Il agit parmi bien d’autres domaines d’activité vers cette forme de reconnaissance (RNCP), la seule voie pratiquable en France. Les Certificats de Naturopathie des écoles membres actifs de notre syndicat respectant nos programmes pédagogiques obtiendront cette forme de reconnaissance (RNCP) dès que cela sera possible. Nous conseillons à tous les naturopathes formés et certifiés dans notre école d’adhérer au SPN qui défend efficacement nos intérêts à tous. http://www.syndicat-naturopathie.fr/
Pourquoi certaines écoles proposent un grand nombre d’heures :
L’Ecole Plantasanté propose un cursus avec un rythme soutenu de 320h environ à raison d’1 WE par mois pour permettre à chaque stagiaire de bien assimiler ces données au cours des 4 semaines suivantes, incluant un stage pratique d’une semaine en été, ce qui représente un nombre de WE assimilable à titre privé.
Contrairement à certaines écoles qui proposent 1200 heures de cours, ce qui nous parait excessif et évidemment avec beaucoup de longueurs, de cours réalisés par des intervenants moins qualifiés ou des formules de tutorats et à un prix élevé, nous avons préféré des cours très denses faits par des professionnels de la santé exerçant la naturopathie.
Les trois intervenants principaux ont tous une double qualification : ils sont à la fois des professionnels de la santé reconnus sur le plan national et de l’alimentation, de niveau universitaire et d’autre part praticiens naturopathes ayant des dizaines d’années d’expérience pratique y compris dans les domaines énergétiques ; ils continuent à exercer en consultation et en bonne entente avec le corps médical, ce qui est précieux en pédagogie pratique : cela nous parait important d’avoir de l’expérience concrète et pratique lorsque l’on enseigne.
Les 3 intervenants principaux donnent leurs cours personnellement.
Une heure de cours représente 4 h de travail personnel pour ceux qui souhaitent exercer à la suite de la formation (ou moins si c’est pour mieux connaitre les ressorts de la santé naturelle à titre personnel uniquement). Bien entendu les 4h de travail personnel dépendent de la formation de départ de chaque stagiaire, de sa capacité d’assimilation des données ; l’essentiel est de travailler suffisamment pour être à l’aise devant un patient et connaitre les principes des conseils naturopathiques ou en matière de compléments alimentaires : certains peuvent avoir besoin de plus ou au contraire de moins de temps (médecin, infirmière, ostéopathe…).
Les participants qui ne souhaitent pas exercer et viennent à ces cours pour leur vie personnelle (la naturopathie est d’abord un magnifique cheminement personnel dans le sens de la vie et de la santé) peuvent en rester à une heure de travail personnel/heure de cours : l’essentiel dans ce cas est de comprendre et assimiler les bases du cours pour pouvoir y revenir en cas de besoin au cours de la vie.
Grande densité et professionnalisme des cours :
Les cours sont particulièrement denses (pour éviter trop d’heures, de WE, de déplacement et de coûts induits).
Ils sont actualisés chaque année en tenant compte de l’évolution de la naturopathie, de la phyto-aromathérapie mais aussi de l’évolution de la science. Les champs de compétence des intervenants les tient toujours au courant de l’actualité dans des domaines très variés.
Certains étudiants pourront approfondir ces cours de plusieurs milliers de pages (rédigés volontairement de manière très dense) jusqu’à bien plus de 4h/h de cours (pour atteindre 2000, 4000 voire 8000 heures de cours ) car il y a plusieurs lectures complémentaires possibles. Les évaluations à la suite de chaque cours et à réaliser chez soi permettent à ceux qui le souhaitent d’approfondir à volonté. Cependant la qualité pédagogique et la complémentarité très étudiée des intervenants permettent d’aller vite. Les intervenants ont passé des jours à étudier la progression pédagogique de façon à faciliter l’assimilation, la compréhension et le travail personnel.
Enfin les journées post formation organisées plusieurs fois par an autour de cas cliniques et de formations sur des thèmes spécifiques ou d’actualité, permettent aussi de poser toutes sortes de questions complémentaires et de présenter des cas cliniques qui sont commentés par les intervenants. En effet il est bon que tout praticien de santé continue au long de son activité de se former et se tenir au courant des nouveautés.
Les compléments à la naturopathie pour ceux qui souhaitent se spécialiser :
D’autre part bon nombre d’étudiants souhaitent exercer la naturopathie non seulement sur la base des 3 piliers de la naturopathie (ce que permet la formation de Naturopathie et qui permet l’exercice de la profession de naturopathe avec compétence), mais aussi en lien avec :
- La phytothérapie-aromathérapie sur 169 heures (26 jours), (avec sorties botaniques tous les jours et stage pratique sur les préparations) font également la formation sur 2 ans de Phyto-aromathérapie et médecines naturelles.
- Ou des compléments de type Fleurs de Bach (dont les 3 jours sur les 38 de base sont inclus dans la formation en naturopathie), Psychologie et Elixirs contemporains sur 42h (2x3jours) en complément.
- Ou une formation d’aromathérapie avancée (niveaux I, II et III), soit 75 heures (10 jours).
- Ou une formation en réflexologie pluridisciplinaire sur 210h (30 jours ; 35 jours avec le mémoire et les cas cliniques).
- Soit un total de plus de 800 heures diplômantes possibles à l’Ecole Plantasanté.
- Ou d’autres formations dispensées par d’autres écoles dans des domaines variés (shiatsu, médecine traditionnelle chinoise, kinésiologie, sophrologie, psychothérapies, massages…).
Pour exercer en tant que naturopathe, les 2 formations de naturopathie et de phyto-aromathérapie sont très complémentaires et permettent aussi d’avoir une formation approfondie sur la botanique de terrain, les préparations, la phytothérapie et l’herboristerie, l’aromathérapie et la gemmothérapie ainsi que sur les compléments alimentaires.
Il est possible de faire ces 2 formations ensemble ou séparément voire en chevauchement car les dates sont compatibles. La formation de naturopathie a lieu tous les 2 ans ; celle de phyto-aromathérapie tous les ans en avril (en saison, ce qui permet les sorties botaniques tous les jours).
Quant au certificat, aucun certificat de naturopathie n’est reconnu en France, il faut donc avoir une compétence en matière de santé et savoir orienter vers le corps médical, et éviter les exercices illégaux de la médecine, de la pharmacie et de la kinésithérapie, ce qui est enseigné avec bien sûr tous les savoirs et savoir-faire autorisés !
Il n’y a pas de reconnaissance d’Etat mais le certificat permet de s’installer librement et de consulter en tant que naturopathe.
La qualité du certificat est liée à la qualité, compétence et pédagogie des intervenants, plus d’une dizaine, dont les principaux et leurs cursus sont donnés sur le site www.plantasante.fr
Naturopathie, « reconnaissance » et Fédérations d’Ecoles de Naturopathie :
Il existe une petite fédération minoritaire d’écoles appelée Fehnaman qui défend depuis 20 ans une hypothétique reconnaissance par un hypothétique diplôme d’Etat qui bien entendu n’aboutira pas en France; lisez à ce sujet le texte très clair de Robert Masson ci-après. Notre Syndicat qui est majoritaire prône une autre forme de reconnaissance citée plus haut et bien plus efficace par le RNCP.
Texte publié par Robert Masson, ancien proche de P. V. Marchesseau :
« Beaucoup d’écoles de Naturopathie, française, canadienne, italienne, militent pour une reconnaissance officielle. Nous pouvons comprendre ce souhait qui, en première analyse, semble légitime.
En effet, il y a toujours une certaine amertume psychologique à se sentir « paria de la société ». Déjà, dans les années 60, un des collaborateurs de Pierre Valentin MARCHESSEAU (que l’on ne présente pas), Louis CLERC, arpentait les couloirs du Ministère de la Santé, les bras chargés de dossiers pour obtenir cette reconnaissance tant souhaitée.
Pierre Valentin MARCHESSEAU était contre cette reconnaissance ; parmi les arguments qu’il développait :
1°- Etre reconnu, ce serait être encadré, surveillé dans l’application de nos méthodes et techniques, mais aussi limité sur l’éventail de ces dernières.
C’était aussi le risque probable de descentes inopinées dans nos cabinets de consultation…
Il disait encore : Comment être « jugé » sur nos connaissances par des personnes qui sont aux antipodes de ces connaissances ?
Cessons de rêver, et gardons le sens de la logique.
2°- Les vrais médecins de cœur et de vocation sont ravis de collaborer avec des naturopathes compétents ( exemple : maintien du terrain, de la vitalité et diminution importante des effets indésirables dans les traitements des cancers…), mais comment les mandarins et l’ordre des médecins pourraient-ils admettre les naturopathes qui expliquent que si la planète devient un gigantesque hôpital, c’est du fait du iatrogénisme galopant et des refoulements anti-symptomatiques aveugles dont le corps médical est responsable…
Mais il y a plus grave encore !
La reconnaissance signifierait purement et simplement L’extinction de la naturopathie .
Pourquoi ?
Simplement parce que nous serions tarifiés probablement à 50% du tarif médecin.
Or, les charges du médecin (qui n’a pas 19,6% de TVA à payer), sont infiniment plus faibles que celles du naturopathe.
De plus, une consultation du médecin généraliste (bien sûr, il y a des exceptions), dure 15 minutes approximativement ; celle du naturopathe dure 1h et plus s’il travaille correctement.
Dans le meilleur des cas, il ne peut recevoir plus de huit patients maximum par jour.
Tarifié à 12 euros, il va gagner si l’on est optimiste 96 euros par jour.
Comment avec cette somme, pourra-t-il payer ?
- Son loyer.
- Son électricité.
- Son téléphone.
- Son matériel de bureau.
- Ses charges sociales.
- Sa TVA.
- Sa taxe professionnelle, etc …
En somme :
RECONNAISSANCE
=
TARIFICATION OFFICIELLE
=
INCAPACITE DE « FAIRE FACE » FINANCIEREMENT
=
FERMETURE DU CABINET DE CONSULTATION
– Est-ce cela que nous voulons ?
– N’y a-t-il pas une autre reconnaissance ?
Par exemple :
– Celle de la maman pour son petit garçon qui ne manque plus l’école, ne fait plus ni rhino, ni otite à répétition et ceci sans antibiotiques, sans anti-inflammatoires, sans antipyrétiques ;
– Celle de cette femme asthmatique (fille de médecin allergologue) avec plus de 40 ans de cortisone, plus de 10 antihistaminiques par jour, et qui par un réglage alimentaire précis et individualisé (eutynotrophie), maintenant sans traitement aucun, court dans les champs de graminées ;
– Celle de ce vieillard épuisé ayant subi scanner, IRM, analyse de sang, d’urine, de salive et autres, sans que l’on trouve le pourquoi de son état, et qui simplement par le rétablissement d’un apport protéique bi-journalier et quelques oligo-éléments retrouve la « pêche » en un rien de temps etc…etc…
Voilà, mes chers collègues, la vraie reconnaissance, c’est celle d’une mère qui n’est plus réveillée la nuit par les pleurs de son enfant souffrant, c’est celle de l’enfant, qui dans le secret de son cœur a cueilli quelques pâquerettes et vous dit le cœur rempli d’étoiles : » tiens Monsieur de la santé, c’est pour toi … ».
Robert Masson » Nous partageons cet avis.
L’avis de Christian et Elisabeth Busser de l’Ecole Plantasanté : la vraie reconnaissance est celle de cette femme et de cet homme transformé dans sa vie grâce à l’application des grandes lois de la vie et de la naturopathie et qui nous en ont remercié ; et cela grâce à la modification de l’hygiène de vie alimentaire, du mouvement et par la psychothérapie, (les 3 piliers de la naturopathie, complétés si besoin par des compléments alimentaires ou des plantes).
Pour toutes ces raisons, comme l’immense majorité des Ecoles de naturopathie françaises, nous ne demandons pas d’adhésion à une Fédération (comme la fédération minoritaire dite Fehnaman ou autre) qui n’a pas de chance d’obtenir une reconnaissance officielle (ni en France, ni en Europe, surtout sans une volonté européenne), ce que je sais pour avoir participé à de nombreuses réunions ou négociations au Ministère de la Santé en tant que professionnel de la santé *. Mais nous sommes actifs au Syndicat des Professionnels de la naturopathie (SPN) qui regroupe 10 écoles de naturopathie: c’est le groupe majoritaire en France; nous préparons l’inscription de nos cursus de naturopathie au RNCP, Répertoire national des certifications professionnelles. Notre syndicat est le seul en France. Il agit parmi bien d’autres domaines d’activité vers cette forme de reconnaissance (RNCP), la seule voie pratiquable en France. Nous conseillons à tous les naturopathes formés dans notre école d’adhérer au SPN qui défend efficacement nos intérêts à tous.
*Voir cursus